• Vieux vieux texte à l'eau de rose et taches de haine retrouvé :/



     


    _________________ Ça y est. Tu es parti. Parti pour de bon, je n'ai rien pu faire pour contrer ça. Je n'ai pas réussi à marcher à contre ton courant. Je me replonge avec plus de masochisme que jamais dans ces effluves, dans ces sons, qui me rappellent toi, qui tu étais, qui tu ne pourra plus jamais être. Je pleurs ta mort amour, et je la pleur de toutes mes larmes, et de tout mon regret, de toute ma haine contre notre fatalité. Jamais je n'aurai pu dire que j'aimais, avec autant de ferveur et de véracité que lorsque je te le disais à toi, et je sais, que jamais plus je ne retrouverais ça. Tu me l'a volé, ce qu'il en reste ne sont plus que des cendres, j'espère que tu en es fier.



    _________________ J'espère que l'erreur de ta vie t'aura au moins laissé un âpre souvenir ! J'espère de tout coeur qu'un jour tu connaisse ce que j'ai connu, qu'un jour tu ne souhaites plus que de faire goûter à tes veines le goût si pur et violent de l'acier, et de l'air enfin retrouvé. J'espère qu'un jour ta fierté ravalée te fera aussi mal qu'un fleuret à travers la gorge. Que tu auras la dangereuse impression que tout ton monde ne tourne plus, que les autres avancent, mais que toi, tout petit et insignifiant, tu restes scotché là, puis le temps passe, la pluie tombe, tu es toujours là, endurant le vent qui te souffle en plein coeur ses immondes vérités, que tu n'es plus rien et que ta peine n'a d'égale que l'immensité du ciel sans nuages.



    _________________ Oh mon amour sache que rien n'aura jamais plus le même goût, que jamais plus je ne regarderais le ciel de la même façon, et que tout ce qui te ressemblera, avec le temps, je trouverais la force de le maudire si fort que tu te retournera dans ton cercueil de verre. Je n'aime pas pleurer les morts, pourtant tu es si présent, encore si présent... jamais ton souvenir ne m'avait parut si infecte. Je n'ai plus de larmes, plus de coeur, plus de pierres à te lancer, plus la fois d'avancer... Tu es si loin. Tout est si loin... Je vomis tous les jours l'âpreté de ce que tu me rappelles, je n'ai qu'une envie, tuer ce qui brûle encore, noyer ce qui vit encore, je ne veut, plus jamais, aimer.


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  • Après la peine vien forcément la haine. Ne dis pas non, ne nie pas, on est tous humain, on en veut toujours a la personne qui nous gache la vie, surtout quand c'est injustifié. Alors oui je t'en veux, et t'en voudrais toujours.

    Et surtout, surtout ne jamais compter sur personne, et surtout, surtout ne jamais faire attention au reste, ne pas s'y attacher et surtout, surtout ne jamais baisser la garde. Reste là reste avec moi protège moi, jamais jamais tu ne t'en ira. C'est trop tard. Tu es à moi. Je ne suis pas le genre de fille à qui on demande de partir
    Ca ne marchera pas, tu ne t'en ira pas sans moi, ça y est j'ai posé une mine mais j'ai pris la mienne en pleine gueule putain tu le sais ça ? Tu le sais que depuis je ne suis plus du tout la même ? Que chaque chose a moin de gout, que chaque épine fait moins mal, j'ai troqué mon coeur pour de la glace putain et rien ne la brise et rien n'y fait. Tous les matin le jour est moin jour, la nuit ets moin nuit, la soleil brule moins, le froid tue moin... et plus rien n'a d'interet. Tu sais tout fait moins mal, et tout fait moins de bien aussi. J'ai troqué mes perceptions contre l'ennui. De l'ennui pur et dur tu sais celui dont on ne se débarasse pas. Putain comment t'as pu me faire ça comment on peut y arriver pourquoi bordel je l'ai tant mérité ?! Je suis si fatiguée... tu ne me manque plus, je ne t'aime plus, je n'aime plus du tout, je ne vois plus rien, je ne sens plus rien, je ne suis plus que le receptacle engendré par toutes tes écorchures. Et plus aucunes larmes ne me vient quand j'ai mal, plus aucun sourire sincère, plus rien... Et j'attend... j'attend simplement. Que tu viennes m'arracher à toute cette lassitude et cet ininteret ! Sous un nouveau visage... ça fait si longtemps. Si longtemps que je ne t'avais plus croisé. Tu me fais peur, tu ne m'apporte que des souffrances, tu ne sert à rien, et pourtant tu t'imposes sans demander mon avis t'es là et tu veux pas bouger putain tant de temps avant que tu te repointe et maintenant tu penses pouvoir remettre les pieds sous la table ?? Regarde ce que t'as fait de moi, je ne vis que pour toi,et tu me tue. Je suis tout à toi, je ne peut rien te refuser. Je ne vis que pour l'interet que tu me porte. Et toi tu ne me montre aucune pitié, tu ne m'écoute jamais. Cette fois tu apparait pour la 2em fois. Et je t'ai reconu de loin. On ne peut à mon avis pas te rater. Je te renie, comme dhabitude personne ne saura que tu es là à part moi et tu me le fera bien payer. Au fond tu m'avais manqué. Je crois que j'ai encore envie de mourir. Amour. Welcome home.

    Est-ce que c t la bonne solution. Faire comme si tu n'étais pas là ? Faire comme si je ne t'aimais pas ... Amour, j'aime le fait d'être totalement impuissante face a toi et à toutes ces merdes que tu m'apporte, j'aime le fait de voir mon coeur battre plus vite au rythme de chaque seringue plantée bien profondément, drainant mon coeur chaque gouttes, coup après coup, j'aime le fait de savoir que tu es ephémere mais de croire le contraire. J'ai tout fait pour te controler, j'ai même cru pouvoir y arriver, mais c'est quand tu t pointé que j'ai réaliser que j'avai tout faux, en une bouffée d'air, tu a effondré ma théorie du complot. C'était mon choix, ne plus te revoir, quit a etre dépourvu de sens mais est-il encore temps de regretter...


    Plonge, replonge, chutte, rechutte, j'avais p-e la mauvaise piste. On ets forcément voué à récidiver ses erreurs, pke ce qu'on prend souvent comme telle n'est en fait qu'un passage obligé. Et on repasse toujours par le mm chemin, on revient toujours sur les lieu d'un crime commis et bordel ce qu'on aime ça au fond ne dis pas le contraire. C'était ma vie, mon nouveau départ, ton couteau, ta plaie béante incurable. Tsais quoi j'en ai marre de parler au mot, d'aimer l'amour, de nommer les innomables. Un jour je me jetteria du haut de ce foutu pont qui me sépare de tout ce que vous avez. Un jour je serai dans la fosse avec vous. J'attend qu'on trouve la clé qui ouvrira les barreau de ma cage. J'attend qu'on me prouve que j'ai tord. Assumer, c'est s'offrir le luxe de ne pas avoir de regrets.


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    << Entre l'acharnement maladif et la lassitude refoulée. >>

     

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    Puis on se rend fatalement compte qu'on n'a de cesse de s'empâter
    dans cette gerbe mélodramatique de complaintes qui ne donne que la nausée.
    Mal à la tête ? Coupe-toi un bras.

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    .                                 Elle tourne, tourne encore, et encore jusqu'à avoir le tournis. Tout ce qu'elle renie elle le rend indispensable. Oh tu sais, l'élégance des lampadaires même en plein jour quand tu vis sous un pont qui s'effondre tu apprend à l'admirer. Et quand tu vis au fond de ta caverne en nourrissant ta seule amie la peur avec les rats morts de l'amertume qui jonchent le sol tu te dis que tu n'es pas si mal lotie. Quand une main pointe le bout des doigts dans ta direction, non non, tu ne la prend plus désormais, tu prend le bras qui va avec. Mais le meilleur c'est le coeur.Tu te nourris de l'amour et de la pitié des autres. Une vampire émotionnelle. Leur carcasses gisent tout près de toi, tu ne veux pas t'en séparer, c'est toujours bon de ronger les os jusqu'à la moelle. Et un jour, oh voila qu'un jour, une main vient à nouveau, un bras, une tête, un coeur, magnifique. Magnifique ? Non non tu dois te tromper. Mais cette fois ci, tu ne veux pas de destruction, tu ne veux pas simplement vampiriser, cette fois ci, tu as envie de plus, tu a envie d'être debout, et de marcher, cette fois-ci, c'est ta main que tu veux donner. Elle est bien laide la tienne, tu la maquille tellement bien qu'on ne s'en rend pas toujours compte. Mais quand il pleut, quand tes larmes viennent laver cette prothèse, alors on voit la plaie béante qui ne guérie pas, celle qui suinte de regrets et de craintes. Celle qui a été brûlée, brûlée vive de chagrin. Ici tu es bien, cloitrée dans ton cocon de haine derrières d'immenses barrières. Quand ta main ose franchir les barreaux dorés de ta cage tu prie tant pour que ce misérable morceau de plastique reste soudé à ta chair. Pourvu qu'il ne pleuve pas, pourvu qu'il ne pleuve pas... personne ne voudrait d'un colifichet aussi ridicule ma fille. Mais cette fois, tu voulais vraiment, cette fois, tu voulais tellement te lever pour le suivre. Mais à peine y as-tu songé que déjà il s'éloigne. Des affaires plus importantes ailleurs. Et maintenant toi, tu as honte, terriblement honte, de ne pas arriver à être aussi importantes que ces affaires là. Tu hais ces mots qui sortent de ta bouche, ceux qui ne disent jamais ce que tu penses. Parfois, il revient, toujours enveloppé dans son manteau de brouillard, tu distingue à peine ses yeux et tu ne supporte pas ça, ne rien voir. Mais maintenant que tu penses que l'affaire est vaine, tu ne sais plus parler, tu peine à te relever, et il te tend bien moins la main. Au bout du compte, tu finis simplement par haïr ses affaires si importantes, à te haïr toi-même et à le maudire pour te délaisser. Tu penses que tu aurais simplement du te nourrir de ces quelques moments et lui trancher les veines ensuite. Mais non, impossible. Tu ne vaux rien ma pauvre amie toi qui aime tant la persévérance, tu es bien tout le contraire de ce que tu aimes. En fait tu attend juste qu'on te fasse violence et qu'on t'arrache à ta putain de somnolence. Il viendra bien une main qui te paraitra plus prenable qu'une autre, alors tu la saisiras tu t'y enchainera et ne la lâchera plus jamais. Le train passe au moins une fois pour tout le monde, tu es juste au mauvais arrêt chérie (k). Si tu mettais tes lunettes tu arrêterais de te heurter à la lune et de la demander. Et que la vie serait plus douce si tu te décidais à remonter le mécanisme rouillé de ton coeur. Minuit pile. Pile sec, parfois il est encore temps de faire demi-tour. [Si t'as lu tout ça, soit tu me prends pour une cinglée malsaine, soit tu t'es beaucoup ennuyé]


     

      


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  • .            Aujourdh'ui j'ai appris par inadvertance ma rupture définitive avec le seul être que j'avais un jour réussi à porter réellement dans mon coeur... aujourd'hui il est partit vivre trop loin pour que je puisse espérer le recroiser un jour. Et depuis un nombre incalculable de mois interminables, j'ai dû faire semblant de m'en sentir heureuse. Cela fait bientôt plus de 18 mois que j'ai tout perdu. C'est par un matin d'automne que j'avais eu l'impression de réellement le connaitre, un de ces matins qui sentent l'hiver et dont le froid me rappelle désormais son odeur. Parfois lorsque j'ai la chance d'avoir la permission de marcher seule, je me surprend à le retrouver dans les ruelles vides que j'aime arpenter dans ma ville. Celles où je n'ai ammené personne, mais qui le rappellent à moi. Au détour d'une bourasque légère et libératrice, en une demi seconde, je suis à nouveau là des années en arrière, et je ne gâche pas tout. Nous n'aurions jamais pu finir notre vie ensemble, ce n'est pas de ça dont mes regrets se nourissent, j'aurais simplement voulu qu'il me connaisse aussi bien que moi je pensais le connaitre, et qu'on ne ternisse pas tous ces ressentis avec des histoires sans valeurs et des caractères incohérents.

    .            Tu aurais dû me laisser gérer ça, c'était trop nouveau pour toi, tu avais bien trop peur. Et maintenant regarde ce gachis, tous ces cadavres putrides qui jonchent encore les bas fond de ton estomac de leurs ailes arrachés par le vent sec et aride de l'abandon et de la culpabilité.

    .            J'avais trop peur, trop peur qu'il ne nous aime pas, trop peur de toi qui est tellement égoiste et qui ne prend jamais en compte ce que les autres veulent. Au final, je pense que c'était ce qu'il attendait. Juste "moi", nous.... Maintenant, je t'ai encore emprisonnée, et j'ai une fois de plus ma lacheté qui prend le dessus... alors ça y est tu as posé un mot ? C'est donc de la lacheté... moi je n'y crois pas, je ne jurerais pas mais tu te détruis et tu détruis les plus belles années de ta vie pour une personne que tu n'aimes pas ! Pour éviter de lui faire du mal alors non ce n'est pas de la lacheté, c'est de la faiblesse, et toi ta faiblesse, c'est la douleur des autres. Laisse-moi faire du mal, laisse moi te rendre heureuse, tu as assez perdu de temps, nous n'avons qu'une vie et je ne veux pas la gacher! Je ne peux pas... pas encore, pas tant qu'il ne sera pas temps... Tout le monde part... tout le monde est en train de t'oublier.. regarde toi... est-ce normal de pleurer de douleur lorsque tu lui dis que tu es la plus heureuse du monde ? La plus comblée ? La plus amoureuse ? Bordel tu ne sais que mentir ! Il t'as coupé du monde, il ne te laisse plus sortir de ta cage, ni voir personne ! Quand comprendras-tu qu'il est temps... Mais peut-être que c'est comme ça que ça doit être... peut-être que perdre tous ceux qui m'ont aidé à grandir était un passage obligé. Et je ne te laisserais pas faire de mal à ceux qui ne le mérite pas... jusqu'à ma dernière goutte de volonté je te résisterais.. toi et la liberté que tu me fais miroiter.


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            Certains s'accorderont à dire que je ne suis que folie, certains au contraire admireront mon courage, d'autres prendront cela comme de la lacheté et d'autres      encore pour un attentat. Je détruit, j'ai détruit et ne           pourrais plus jamais reconstruire. Je suis une bombe qui a implosé en pleine foule.. ainsi pour protéger celui qui m'est cher, je n'ai pas laissé la liberté à mon brasier de tout calciner, j'ai réussi à l'emprisonner dans un cocon de velour, pour ne faire de mal à personne. Mon choix a été de me brûler vive, mais d'être la seule à souffrir du ravage que moi seule avait provoqué. Et pour se faire, je n'ai plus que des souvenirs de la vie que je me rêvais d'avoir, des souvenirs à jamais bannis par cette même force qui m'aide à retenir tout ce magma de rage fébrile. Alors, certains peuvent me blâmer de n'être que le simulâcre d'une immonde vérité, moi-même je ne sais que trop bien la haine que l'on peut me porter. Et si jamais, un esseulé en viendrait à penser le contraire, une parole, un vers, et tout redeviendrait poussière...

     

    C'est ici le récit fou, d'un souvenir autodestruceur.



     


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